Je ne résiste pas au plaisir de partager le résultat de cette expérience réalisée par Puran Bair en 1997, qui prouve, avec une vraie démarche scientifique, les capacités du cœur à émettre de la lumière physique (photonique).
Ces expériences rejoignent celles du Docteur Fritz-Albert Popp, qui a écrit un livre sur la biologie de la lumière (bases scientifiques du rayonnement cellulaire ultra-faible). Il est très connu pour ses travaux de communication cellulaire par l’intermédiaire de biophotons.
Mais ce sont ici les expériences de Puran Bair qui nous intéressent, qui est à l’origine de la création de l’institut de méditation appliquée aux États-Unis. Ce qui est fascinant dans les résultats présentés, c’est que l’émission photonique du cœur est faible et aléatoire quand le sujet utilise des techniques sophistiquées d’origine Soufi. A l’inverse quand il dirige son intention sur la guérison d’une personne, l’émission devient stable et puissante.
Voilà de quoi nous faire réfléchir à la fois sur le pouvoir de l’intention et sur la puissante de l’empathie et de la connexion cardiaque !
Merci à Eric pour la trouvaille et la traduction !
LUMIÈRE VISIBLE ÉMISE PAR LE CŒUR AVEC MÉDITATION DU RYTHME CARDIAQUE
Puran Bair, M.S.
Résumé
Des recherches menées à l’université de Kassel à Witzenhausen, en Allemagne, en 1997, ont montré qu’il est possible de produire de la lumière visible à partir de la région thoracique dans certaines conditions. La première condition est que la technique de méditation doit être centrée sur le cœur, et non transcendante. Deuxièmement, une personne spécifique ayant un besoin réel doit être identifiée comme récepteur de la lumière transmise. Dans ces conditions, une émission de lumière soutenue de 100 000 photons par seconde a été mesurée, alors que seul le bruit de fond de 20 photons par seconde a été observé sans méditation.
DESCRIPTION DE L’ÉQUIPEMENT
TUBE PHOTOMULTIPLICATEUR
Le tube était un EMI Type 9635 QA à très haute efficacité, spécialement sélectionné pour le mode de comptage de photons uniques. Des intensités lumineuses allant jusqu’à 10-17 watts sont mesurables avec ce tube. Le tube est sensible dans la plage de 200 nm (ultraviolet) à 630 nm, où la sensibilité diminue fortement de manière à exclure les photons thermiques (infrarouge) à compter. Le taux de comptage dans l’obscurité sans substrat était de 12 photons/seconde, le taux de comptage dans l’obscurité dans la chambre noire était de 20 photons/seconde.
PRÉAMPLIFICATEUR/DISCRIMINATEUR
Le préamplificateur/discriminateur amplifie le signal initialement très faible à un niveau de 5 volts et supprime les sources « artificielles » de photons
LOGEMENT RÉFRIGÉRÉ
Le refroidissement sert à maintenir le taux de comptage des obscurs extrêmement bas. Nous avons utilisé un système de refroidissement de type Peltier capable de refroidir le boîtier du tube de la température ambiante à -25C. Les mesures ont été prises à -20C.
MATÉRIEL ET LOGICIEL
Le logiciel et le matériel ont été spécifiquement conçus par ALV de Langen, en Allemagne, un spécialiste de renommée internationale pour les applications laser et les mesures de très petites particules (un de leurs projets était avec la NASA). Le logiciel a été conçu pour faire fonctionner l’équipement en mode de comptage de photons uniques.
CHAMBRE NOIRE
Pour cette expérience, la chambre noire a été entièrement recouverte d’un tissu noir absorbant la lumière, de sorte que le nombre total de photons sans objet à mesurer n’était que de 20 photons par seconde.
Figure 1. Installation expérimentale.
PROCÉDURE EXPÉRIMENTALE
L’équipement a été mis en place et contrôlé par Winfried Fuchshofen, qui était à l’époque doctorant à l’université de Kassel (figure 1). Le méditant était Puran Bair, co-fondateur de l’Institut de Méditation Appliquée.
Le méditant s’est déshabillé et est entré dans la chambre sombre et climatisée, qui a ensuite été scellée. À l’intérieur de la chambre, de la taille d’un placard, se trouvaient des couvertures noires que le méditant enroulait autour de lui pour se réchauffer. Au bout d’une heure environ, l’ordinateur a affiché un comptage de fond de 20 photons/seconde dans la chambre, que le méditant soit nu ou enveloppé. Ce délai d’une heure était nécessaire pour dissiper la fluorescence du corps, car il émet la lumière qu’il a absorbée de la lumière ambiante extérieure. La nudité était nécessaire pour éliminer la florescence des tissus et pour éviter les décharges électriques statiques.
Au début, le méditant essayait de s’asseoir avec l’extrémité du boîtier refroidi contre sa poitrine nue. Cependant, cela s’est avéré inconfortable car le tube métallique était assez froid, relié au photomultiplicateur refroidi à l’hélium liquide, et il ne pouvait pas mettre ses jambes sous la table, donc s’asseoir était gênant. On décida donc de s’asseoir droit sur une chaise, la poitrine à environ un mètre du boîtier.
À ce moment-là, le méditant commença une série de méditations destinées à augmenter l’énergie de la colonne vertébrale et du cœur et à faire rayonner la lumière. Ces méditations comprenaient des pratiques de kundalini, des invocations de la lumière divine et le dhikr.
LES PRATIQUES DE KUNDALINI
Dans ces méditations, l’énergie est tirée de la colonne vertébrale de la terre en utilisant une forte inhalation avec cette visualisation. Ensuite, le souffle est retenu, l’attention étant placée au-dessus de la couronne. L’expiration est pleine et complète, forçant l’énergie à descendre (vue du haut de la couronne) le long de la colonne vertébrale, puis à avancer du cœur. Cette pratique est extrêmement énergique, ce qui donne une sensation d’extase et de rayonnement.
INVOCATIONS DE LA LUMIÈRE DIVINE
Ce sont des méditations soufies qui utilisent des chants, à haute voix et en silence, pour créer des vibrations qui stimulent le cœur et le troisième œil. Plus précisément, les mots arabes Nur et Mu-now-wirr sont prononcés lentement, en mettant l’accent sur les voyelles, ce qui fait résonner le son dans la gorge et la poitrine. Ils donnent la sensation d’avoir un soleil miniature dans la poitrine.
DHIKR
La répétition de la phrase arabe « La illaha illa ‘llah Hu » est une prescription ancienne pour entrer dans la conscience de l’Etre Unique. Elle est exécutée avec l’attention portée sur le cœur comme centre de l’expérience et donne un sentiment de profonde centralité du cœur.
PREMIERS RÉSULTATS
Il y a eu quelques mesures brèves et erratiques de 37 000 à 45 000 photons/seconde pendant que le méditant méditait (figure 2). Ensuite, il y a eu des périodes de 10 à 20 minutes sans relevés, puis à nouveau de brèves périodes de quelques secondes de lumière. Lorsque la lumière était mesurée, l’expérimentateur communiquait les résultats au méditant par une liaison audio unidirectionnelle (l’expérimentateur avait un microphone et le méditant portait des écouteurs.) Cette performance erratique était très frustrante pour le méditant, qui essayait d’utiliser le retour d’information comme un guide vers une sortie de lumière plus fiable. Aucune des méditations n’a produit de résultats cohérents, mais toutes ont produit de la lumière à certains moments.
INTERMISSION
Après environ dix heures de méditation, l’expérience a été annulée et le méditant est sorti de la chambre. L’expérimentateur et le méditant se sont retirés chez l’expérimentateur pour le dîner. Le fils de l’expérimentateur, âgé d’environ quatre ans, avait attrapé un gros rhume. Le méditant, découragé par les efforts de la journée, se retira dans sa chambre et dormit.
Tôt le matin, le méditant s’est réveillé avec une intense perspicacité : le jeune garçon avait besoin de lumière pour sa guérison. À 8 heures du matin, l’expérience a repris. Figure 3. Mesures des photons par seconde.
RÉSULTATS
Après que le méditant ait passé une heure dans la chambre noire, le comptage du fond est revenu à 20 photons/seconde (figure 3). Ensuite, le méditant a fait une méditation de guérison au cours de laquelle il a placé mentalement le garçon malade devant lui et a « envoyé de la lumière » au garçon sur l’expiration venant de son cœur. Il s’agit d’une technique de méditation du rythme cardiaque. Il s’agissait, par rapport aux méditations complexes et intenses de la veille, d’une méditation plutôt simple et facile. L’effort demandé au méditant était émotionnel plutôt que mental et très mineur par rapport aux précédentes épreuves de concentration intense. L’ordinateur a mesuré 100 000 photons/seconde de façon constante pendant une demi-heure, jusqu’à ce que la méditation soit arrêtée. Cela suffisait pour que la lumière soit à peine visible. On a estimé que 1000 photons/seconde pénétrant dans l’œil suffisent à créer une sensation visible. En fait, seuls quelques photons/seconde frappant la rétine sont suffisants, mais le globe oculaire absorbe près de mille photons/seconde dans son cristallin et son liquide.
À titre de comparaison, le méditant a ensuite déballé sa montre-bracelet qui avait un cadran fluorescent et l’a tenue devant sa poitrine. L’ordinateur a indiqué 1 million de photons/sec. Dans la chambre noire, avec ses yeux ajustés à l’obscurité absolue, la lumière du cadran de la montre-bracelet semblait être assez forte pour lire.
CONCLUSION
La génération de lumière a finalement été obtenue par la combinaison d’une technique de méditation efficace et de l’intention d’envoyer de la lumière à un patient spécifique ayant besoin de guérison. La technique de méditation utilisée s’appelle la méditation du rythme cardiaque et est détaillée dans le livre « Living from the Heart » (Random House, 1998), écrit par le méditant. Sans intention de guérison, malgré tous ses efforts en utilisant une variété de méditations qu’il avait maîtrisées, le méditant n’était pas capable de générer des émissions de lumière constantes.
La quantité de lumière émise par sa poitrine et atteignant un photomultiplicateur situé directement devant lui, à trois pieds de distance, était supérieure de deux ordres de grandeur à ce qui est nécessaire pour la visibilité, et inférieure d’un ordre de grandeur à ce qui est nécessaire pour lire avec des yeux réglés sur l’obscurité.
Les résultats servent d’avertissement à ceux qui mènent des expériences objectives dans l’énergie subtile où il n’y a pas besoin d’une véritable guérison. Il semble qu’un sujet récepteur connu et spécifique soit nécessaire pour donner du pouvoir au sujet émetteur.
L’émission de lumière sous d’autres angles et à partir d’autres parties du corps n’a pas été testée. En outre, la fréquence de la lumière n’a pas été mesurée, mais seulement l’amplitude dans la plage de sensibilité de l’instrument.
CORRESPONDANCE : Puran Bair – Institut de Méditation Appliquée – P.O. Box 86149 – Tucson, AZ 85754
RÉFÉRENCES ET NOTES
- Puran Bair, Living From the Heart (Random House, New York, NY, 1998).
Source : https://journals.sfu.ca/seemj/index.php/seemj/article/view/56
Présentation des personnes à l’origine de l’expérience
Bonjour,
Rien de plus normal, puisque selon les enseignements et transmissions bouddhiste que j’ai reçu, avec la pratique adéquate, par nos yeux de chaires, par certains regards, l’on peut voir dans l’espace, la lumière qui vient du cœur et qui déploie devant notre regard quatre types de vision qui peut nous amener à voir les déités du Sambogakaya, et qui nous permet, pour autant que l’on en ai les capacités d’obtenir dans cette vie, le corps d’arc-en-ciel (ja’lu) ou le corps grand-transfert.
Le premier est que lors de notre mort notre corps se dissous en lumière et ne reste de nous que les ongles et les cheveux, et pour le second, nous devenons quasiment immortel et pouvons voyager n’importe où dans le multivers, en pensée, avec son corps de lumière, l’on peu devenir invisible, revenir à son corps physique, repasser à son corps de lumière, etc..
Un peu comme lorsque trois jours après sa mort et sa mise au tombeau, Jésus a croisé sur la route Marie-Madeleine dans son corps de lumière.
Dans le bouddhisme, seuls deux consciences ont obtenu le corps grand transfert, Padmasambava et Vimalamitra, contre des milliers qui ont obtenu le corps d’arc-en-ciel.