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Mettre en lumière l’ombre sociétale ou la sienne propre ?

Il est parfois difficile d’admettre la difficulté que l’on a pu avoir à matérialiser et énoncer une idée qui se révèle un beau jour toute simple…

Depuis plusieurs années je fais face à une communauté spirituelle, tout en participant à ma façon à la divulgation profonde de l’Ombre de notre société. L’ombre est profonde, le mensonge omniprésent, les élites corrompues, les enfants martyrisés, notre mental contrôlé… Pour autant, on me rétorque souvent que ce n’est pas très lumineux de diffuser de l’information sur la pédocriminalité, le contrôle mental ou les faux-semblants de notre communauté spirituelle. Je ferais même baisser potentiellement le niveau vibratoire des personnes qui me suivent ou me lisent ? Convaincre la communauté de la nécessité de regarder l’ombre dans les yeux pour monter plus haut dans la lumière a toujours été pour moi d’une grande difficulté, un paradoxe presque insurmontable. Aujourd’hui je retente l’expérience de vous convaincre de cela dans une nouvelle perspective !

Depuis bien longtemps, comme beaucoup d’entre vous, j’ai commencé à arpenter les sentiers de la quête spirituelle et du travail intérieur. J’avais de bonnes raisons de penser que ce chemin ne serait pas des plus simples et qu’il eut mieux fallu, pour avoir une vie plus tranquille, rester dans l’aveuglement collectif de notre société. Avant de prendre le parti de révéler l’Ombre sociétale, j’ai passé de nombreuses années à travailler sur ma propre Ombre. Entendons-nous bien ! Il ne s’agit pas d’expier des crimes, ou de se flageller de son manque de compassion ou de générosité. Il s’agissait de descendre, pas à pas, les marches de l’intériorité pour débarrasser tout ce qui encombre le chemin vers plus de lumière, patiemment, sagement.

Ce qui encombre notre intériorité, à la lumière des connaissances spirituelles que nous avons aujourd’hui, n’est pas à proprement parler la conséquences de nos mauvaises actions passées, de notre mauvais Karma ou de nos vies antérieures. Ce qui encombre notre intériorité, c’est la souffrance, de cette vie présente, et de nos vies passées, qui s’est cristallisée dans les différentes strates de nos corps, des plus subtiles aux plus denses. Il n’y a donc aucune honte à devoir déblayer le terrain encombré par nos souffrances passées, souffrances causées pour une bonne partie par le système matriciel et les démons accompagnateurs, dont la fonction principale à toujours été, à travers les incarnations, de nous empêcher de renouer avec notre supraconductivité et donc notre lumière intérieure.

Mais pour y arriver, il faut accepter de descendre les marches de notre monde intérieur. Et malgré de premiers et faciles succès, il nous est arrivé d’entrevoir la complexité et l’énormité de la tâche. Il existe en effet de nombreuses marches et de nombreuses souffrances cristallisées, de façon proportionnelle à notre séjour dans le système matriciel terrestre. Pour les plus opiniâtres d’entre nous, ce travail semble sans fin, éternel. Chaque soir, je descends dans l’écoute intérieure, chaque soir je me heurte aux encombrants, ces nœuds énergétiques, émotionnels, mentaux, chaque soir je tâche de dénouer ce nouveau nœud, d’évacuer ce nouvel encombrant qui m’empêche d’accéder plus profond en moi, qui m’empêche de rétablir plus de conductivité dans mes corps énergétiques. Comme un Sisyphe condamné à pousser sa pierre éternellement, je cherche chaque nuit la lumière en moi, pour la restaurer et participer ainsi au maintien, dans des conditions de vie acceptables, des êtres sensibles à la surface de cette planète.

Et c’est seulement quand, suffisamment de conscience est apportée sur le nœud en question, que le nœud se délie et se dissout, par la seule lumière de la conscience et de la volonté intérieure.

Ce que j’ai décrit jusqu’à présent pourrait peut-être vous sembler abstrait ou abscons. Cela correspond pourtant à la nature de mon travail spirituel, en état méditatif d’observation intérieure. Alors oui bien sûr, on peut faire un travail de relaxation, visualiser une colonne de lumière, utiliser la connexion aux êtres de lumière (hors Matrice bien évidemment), la flamme violette, le feu blanc de An même, et tout ce qui en terme de visualisation efficace est porté à notre connaissance et est à notre disposition. Cependant, toutes ces visualisations ne sont que des outils pour, in fine, amener un peu plus de lumière en nous et dans la matière (notre matière corporelle et la matière de notre environnement). C’est ce qui s’appelle ancrer la lumière. Ancrer la lumière pour éclairer les nœuds et anomalies, à la clarté de la conscience pour la dissolution de ces énergies sombres. C’est ainsi que cela fonctionne, et le principe est somme toute assez simple. Il n’est pas besoin de protocole complexe nécessitant des années d’études spirituelles. Ce qui nécessite des années, c’est le travail en soi, du fait de ce quasi éternel recommencement qui était lié aux démons matriciels, aux implants, à l’anomalie quantique savamment entretenue de notre environnement, qui sont tous en cours d’effacement.

Nous assistons donc actuellement, mais ce n’est pas l’objet de cet article, à une accélération de la lumière, du fait même de l’effacement en cours de ces entités et énergies sombres, et le travail de lumière que nous réalisons actuellement porte en soi un caractère d’irréversibilité salutaire. Le Sisyphe va donc connaître la fin de son calvaire éternel.

Mais mon propos n’est pas là. Mon propos est de vous amener à comprendre que c’est la lumière de la conscience qui résorbe et dissout les nœuds et énergies sombres. C’est en réalité le seul et unique apport à retenir de ce long article !

Et maintenant, vous commencez à comprendre, pourquoi je vous ai emmené sur ce terrain-là… Et qu’en est-il des ombres de nos sociétés humaines ? Qui travaille pour les dissoudre et les résorber ? La même personne ! Celle-là même qui est consciente de la nécessité de mettre l’ombre en lumière tout comme Hercule a amené la tête de l’hydre de Lerne à la lumière. On pourrait en effet considérer que le travail consistant à mettre en lumière les ombres de notre société est un travail de spécialiste, de lanceur d’alerte, de journaliste indépendant, mais certainement pas de celui d’un spiritualiste ou même d’un individu plus prosaïque. L’individu plongé dans son chemin spirituel s’occupe de lui et de lui seul… Vraiment ?

Alors oui, il y a, et il y aura des spécialistes de la pédocriminalité, du contrôle mental, de la corruption sociétale… Mais ce n’est pas un spécialiste à lui seul, et qui plus est sans les outils spirituels, qui va pouvoir amener seul à la conscience collective l’ombre de notre société. Car, et ce point a son importance, point que j’ai passé sous silence jusqu’ici, l’ombre résiste ! L’ombre résiste en nous, comme elle résiste dans la société. La part d’ombre, les démons matriciels, veulent que leur écosystème perdure et préfèrent même continuer leur vie d’esclave, plutôt que de devoir retourner à la lumière aveuglante de la Source qui les condamnera à refaire un cycle complet de manifestations à travers les différents plans de la création.

Comme l’ombre résiste en nous, pour des raisons que je ne vais pas développer maintenant, elle résiste à fortiori dans notre corps collectif sociétal. Nous sommes face à des individus corrompus et manipulés qui, si la lumière se fait sur leurs crimes et leurs exactions, ils se verront condamnés à une peine, dans le meilleur des cas, à une restructuration de leur être intérieur, dans le pire des cas. Depuis 25000, le mal triomphe et la panthère gouverne, pourquoi faudrait-il que cela change ? Et puis si tous les pions de la Cabale se serrent les coudes, il y a peut-être une chance encore de duper la plèbe et de faire perdurer un peu plus ce système matriciel ?

Comprenez-vous le parallèle ? Accepteriez-vous de mettre l’Ombre sociétale en Lumière, accepteriez-vous même de simplement la regarder en face ? Laissez-moi le droit d’hasarder une hypothèse. Si bien confortablement installé dans votre spiritualité de routine, vous refusez de voir l’ombre sociétale et de participer à sa mise en lumière, peut-être que de même dans votre intériorité vous avez fait le choix de passer sous silence certaines souffrances, de ne pas descendre quelques marches de plus vers d’autres encombrants, d’autres nœuds. Pourtant nous savons bien, dans notre for intérieur, que notre société est le reflet extérieur de nos âmes…

Alors que si demain chaque personne qui a découvert un peu de cette ombre sociétale, décide de parler, alors imaginez le renversement et le tsunami de Vérité ! Que toute personne ayant été témoin d’une affaire de corruption parle ! Que toute personne qui a vécu de l’intérieur l’hypocrisie journalistique témoigne ! Que toute personne ayant subi un abus sexuel ou de l’inceste ose. Que toute personne qui a vu un OVNI ou subi une abduction parle ! Que toute personne juste conscience de la profondeur de l’Ombre à la surface de notre planète arbore la Vérité en pleine conscience ! Alors toute la lumière de ces consciences se focalisera sur les nœuds et viendra les dissoudre inexorablement et il en sera fini de ce déni de l’ombre sociétale !

Je prends conscience en écrivant cet article que chaque paragraphe mériterait sans doute des développements pour être mieux compris et assimilé… Mais le temps presse ! Quoi qu’il en soit, dans un article ultérieur, nous tenterons de revenir sur le parallèle éloquent du mythe de l’hydre de Lerne !

Bravo si vous êtes arrivés au terme de la lecture de cet article et merci de jeter ainsi la lumière de votre conscience sur tous les trous noirs de notre Société !

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16 thoughts on “Mettre en lumière l’ombre sociétale ou la sienne propre ?

  1. Cher Hervé, ton article est encourageant. Moi aussi il y a une vingtaine d’années j’ai décidé de m’occuper des zones d’ombre en moi, un travail que mes activités spirituelles avec mes clients (en Allemagne) exigent que je fasse quasiment continuellement. Je suis heureuse de lire ton texte, parfois c’est un travail qui isole, je trouve que ce thème est pour beaucoup de travailleurs spirituels encore tabou. J’apprécie la profondeur de ton travail et ton honnêteté. J’aimerais participer plus souvent à tes émissions, mais j’évite d’être trop branchée aux réseaux sociaux. Belle continuation, merci pour ta générosité et Victoire à la Lumière!

  2. Christine

    Merci pour cet article très bien écrit et réaliste.
    A bientôt 60 ans, je suis fatiguée de toutes ces souffrances vécues, j’ai dénoncée à chaque fois des injustices vécues , et chacune d’elles n’a jamais abouti, jamais LA reconnaissance, je ne regrette pas d’avoir dénoncer car cela me paraissait juste. Mais tout le système est corrompu, alors ces souffrances demeurent. Cela passe par être droguée sur mon lieu de travail, puis abusée, vivre pendant 2 ans avec un manipulateur pervers qui me fait un enfant et fait subir des violences psychologiques, harcèlement au travail, et plus, bref je ne peux pas croire que tout ceci est le miroir de ce que je suis. Mon être pur n’a jamais pu s’adapter dans cette incarnation.
    Christine

    1. Hervé

      Bonjour Christine et merci pour ton témoignage. Quand j’exprime que l’ombre de la société est la projection de nos ombres intérieures, il ne faut pas le prendre à titre individuel mais bien à titre collectif.
      C’est la levée de l’ombre en chacun de nous qui mène évidemment vers cette divulgation collective.
      On sait que l’ombre a toujours assommé plus particulièrement les personnes les plus à même d’ancrer la lumière à la surface de cette planète.

      1. Christine

        Merci Hervé. Oui ce que tu me réponds est tout à fait juste

  3. Rémy

    En effet je ne mène aucun combat societal. J’essaie d’ouvrir mes fenêtres intérieures et je vois la lumière sans pouvoir la communiquer.

  4. Julie De Noyette

    Cher Hervé. Merci pour tout, ton travail, ta présence. Merci pour ton dernier article. Il fait échos à mon rêve de cette nuit. Il fait écho au travail que j’ai mené depuis enfant. Aujourd’hui, je suis fatiguée et en même temps toute excitée, heureuse, trépidante. J’ai hâte de pouvoir enfin rencontrer mes collègues, ma Famille. Au plaisir. Julie.

  5. Etoile de Vénus

    Le seul travail à faire si on peut appeler ça un travail, c est d accueillir, d accepter et de traverser ce qui est et l Eveil ou réalisation du Soi se fera.
    Bcp d Éveillés partagent sur internet.
    A part Abba, personne ne parle de l Événement. Toute la création va s éveiller. C est la fin du mythe de la création et tous les Éveillés le vivent.
    Simplement voir que ce monde n est qu un rêve.
    Quand chaque Un vivra la paix, où sera le chaos ?

  6. Joëlle Grosjean

    Bonjour, oui il est nécessaire de commencer par enlever tous (émotions) nos voiles afin de rayonner la Lumière et il n’y a plus rien d’autre à faire que Être. Exemple Julie Ann: https://youtu.be/ryA86jZPCV4
    Love
    Joëlle

  7. Bahipi Kimpiobi

    Merci Hervé pour ce partage. J’adhère à 100%. Il est plus que temps d’ouvrir les yeux et les cœurs à la réalité que nous vivons, sinon nous serons pris dans les pièges de l’angélisme du New age. Nous devons tous participer à notre libération, et pour cela il est indispensable de savoir à quoi on a à faire. Victoire de la lumière.

  8. Geneviève

    Merci de dire tout haut cela! Merveilleux!

  9. Regnier

    Videz les encombrants qui sont a l’intérieur de nous , c’est la première chose a réaliser,ne pas ajouter une couche sur une autre couche qui ne ferait que masquer ce qui est toujours là. Mettre a la lumières nos parts d’ombres pour mieux les dissoudre et révéler au grand jour ce qui doit l’être permet de diminuer le pouvoir à ceux qui cherchent a garder le contrôle sur nos Âmes.

  10. Krys Tina

    Tu as raison Hervé de faire évoluer tes radios pleiades et tes articles sur des sujets hyper sensibles et brulants….
    Je ne pense absolument pas que tu nous tires vers le bas…comme peuvent te le faire remarquer certains !
    En plus tu as une éloquence, une plume et une culture quasi sans faille et toujours sur le ton de la bienveillance.
    Je t’encourage à continuer sur la voie qui te fait écho…. Mettre en lumière l’ombre sociétale ou la sienne propre.
    Victoire de la lumière !!!

  11. Bonjour,
    Ceci n’est pas à proprement parler un commentaire. Je profite de cette occasion pour faire ce que je n’ai pas trouvé jusqu’ici à faire oralement, me présenter à vous tout en vous remerciant de tout ce que vous m’avez appris, messages de Cobra et techniques de libération même si je n’arrive pas vraiment à en tirer le meilleur profit : j’ai 76 ans, j’ai vécu ce que j’ai vécu et je suis rejeté de partout depuis toujours.
    Vie très difficile, solitude et dépression quasi permanentes. Une autobiographie a été publiée que personne n’a voulu lire, mes autres écrits, poétiques ou non, pas davantage. Ce site web pour éventuellement illustrer… http://www.andrestreel.eu
    Je suis « mort » à 18 ans, drogué à mon insu par un médecin, dix ans de psychotropes et d’électrochocs en établissement psychiatrique pour m’achever, seul des 150 ainsi traités à néanmoins survivre (la moitié suicidés, la moitié plantes vertes) mais dans quel état !Mon éphémère épouse médecin réussit en effet mais non sans peine pour tout le monde à me désintoxiquer par ses placebos au bout d’un an. Je me crois même sauvé par le hatha-yoga que je pratique intensément au point de guérir drastiquement ma timidité, ma peur des femmes au point de devenir l’inverse, obsédé sexuel, mon professeur est désarmé qui diagnostique un début d’élévation anarchique de la kundalini, il me conseille vivement d’aller voir son guru, Desi Kachar, à Madras.Au moins j’arrête le yoga mais pas la lecture des aphorismes de Patanjali qui m’ouvrent à un autre monde et d’abord à la théosophie de HP Blavatsky.
    Par ailleurs, comme il n’y a pas de contrôle antidopage aux fréquents examens de promotion de l’administration belge des impôts que je déteste mais qui me nourrit et me fournit en congés maladie, je les réussis tous à partir de la recette miracle de mon psychiatre par laquelle je récupère un temps cette mémoire d’éléphant tuée par les électrochocs et qui me survolte puisqu’à base de ce captagon si cher à nos terroristes et nazis d’aujourd’hui. Reste qu’au lieu d’en devenir le plus jeune directeur général je suis mis à la porte du jour au lendemain alors que jusque-là j’étais très bien vu du roi dont je rédigeais le brouillon des textes financiers et du ministre des finances pas trop financier dont je pondais les réponses aux questions parlementaires et j’aimais assez me lire dans le Moniteur belge, le journal officiel de l’état belge. C’est qu’au lieu de l’habituelle fausse réforme fiscale pressentie reprenant d’une main ce qu’elle donne de l’autre que je suis chargé de pondre pour le gouvernement, je m’écarte légèrement du canevas imposé et pour la première fois préconise au contraire la taxation des milliardaires du pays à hauteur de leurs capacités au lieu que comme depuis toujours ceux-ci par la vertu d’une élémentaire corruption planquent leur fortune en paradis fiscaux et n’en rapatrient qu’une petite partie pour un tant soit peu renflouer à des taux usuraires l’état belge qu’ils ont surendetté. Fondamentalement je suis content de quitter ce monde pourri jusqu’à l’os mais ce que je n’ai pas prévu, c’est son cadeau d’adieu : on me fait don d’une dette à intérêt progressif illégal de 25% que je vais rembourser de saisies en saisies 15 ou 20 fois pendant 30 ans ; plus je paie, plus je dois, partout en Belgique comme à l’étranger pourchassé par les huissiers, obligé de changer sans arrêt de taudis et d’emploi minable. Aujourd’hui encore tout le monde croit, ma famille en tête, que j’ai été expulsé d’une administration dont on ne sort normalement que mort ou pensionné pour avoir escroqué l’état, je m’en suis tiré à bon compte, j’ai évité le déshonneur de la prison, je n’ai eu qu’à rembourser ce que j’avais volé. Mon statut a également évolué, de simple honte de famille et de société je suis passé au grade de superhonte, dès lors dûment exclu de la famille, déshérité, montré du doigt jusqu’à la crampe, mes ex-nombreux amis et relations changeant brutalement de trottoir à mon approche…
    Je me crois toutefois à nouveau sauvé, je crois même faire coup double, retrouver santé comme statut social quand je deviens guérisseur au sein de cette puissante organisation, soutenue par toutes sortes d’éminences, président de la République française en tête. Trop abruti de conditionnements divers et violents pour réaliser vraiment que je me suis en fait jeté dans la gueule du loup, ce pouvoir magique de guérison que j’y ai acquis se retourne contre moi et mes collègues, plus je guéris les autres, plus mal je vais, pression et culpabilisation écrasantes, les mises sur sellette tout autant, il faudrait vider tous les hôpitaux, éliminer la souffrance de la terre ; si extraordinaires soient-ils, nos résultats sont dérisoires en comparaison des prévisions… L’incroyable se produit néanmoins au bout de 14 ans : kidnappé en raison de mon verbe par une secte plus terrible encore, extraterrestre, qui se dit ummite, je retombe vite de mon nuage. L’accueil est certes mémorable, l’œuvre du fils de la guru, parfait sosie de Raspoutine qui me lance « Bienvenue Nikki, content de te revoir, ça fait un bail ! » De fait les photos sont accablantes, je ressemble très fort à Nikki, Nicolas II, juste plus petit. De fait aussi jamais « Raspoutine » ne me brutalisera, je serai seul à pouvoir l’approcher, partager sa chambre, le véhiculer sans crainte, je n’aurai au pire qu’à souffrir sa violence verbale, comme un pacte étrange entre nous deux. Moins drôle par contre, celle qu’on m’a dit être mon âme jumelle et qui est folle de bonheur à l’idée de me retrouver, la jeune et jolie secrétaire de la guru, je la découvre gloussant de bonheur dans les bras d’un membre de la secte…
    Toujours est-il que je suis nommé public relation avec pleins pouvoirs en matière d‘expression orale comme écrite, et je peux, en théorie du moins, puiser autant que je veux pour ces besoins dans la caisse sans fond de la secte, revenue pleine à ras bord de Hong Kong après y avoir dévalisé quelques milliardaires locaux. À ce titre privilégié en un sens car exempté de coups mais non d’insultes et autres humiliations pour une raison très simple : je dois être à tout moment présentable (conférences, interviews) ; exempté même aussi de toute utilisation sexuelle, surnommé dès lors « la vestale ». Terreur permanente. Progressivement je comprends que la secte ne se contente pas de nous asservir et de nous utiliser avant de nous manger une fois en bout de course mais bien pire encore elle entend nous transformer progressivement en robots et, poète, je suis le plus doué à cet égard et donc le premier de la liste. Première conférence inoubliable, après toute une journée et une nuit passée à faire tourner la photocopieuse sans rien manger, ni boire autre chose que l’eau de la cuvette wc (mon châtiment : après que l’ouvrier alcoolique de la presse se fût volatilisé, je m’étais retrouvé seul à improviser l’impression de ce livre capital et bien sûr j’avais tout bousillé), alors que je tombe de sommeil et meurs de faim on me donne les clefs d’une voiture avec ordre de parcourir immédiatement les 1000 km séparant notre repaire (dans la forêt du Doubs) du lieu de réunion ufologique mondiale de Marseille (participants américains, russes, asiatiques, européens) ; je suis bien sûr accompagné de ce cher garde du corps dont la mission est simple et double : me tuer à la moindre tentative d’évasion et tuer ceux qui veulent m’empêcher de parler en me tuant ; en route, quand il est fatigué d’écouter son musicien favori, Haydn, il m’oblige à le faire rire, il adore mon humour, grâce à quoi au moins je reste éveillé. Arrivée à destination à 15h55 au grand soulagement du directeur de l’organisation, ma conférence est prévue de 16h à 17h, je lui en demande le titre, il ne peut me répondre, je transpire, je suis mort de peur, je dessine toutefois quelques sourires dans l’assistance quand je commence par dire, tout à fait sincère : « Je ne sais pas ce que je vais vous dire mais je vais vous le dire quand même. »
    Le prodige ensuite si l’on peut dire, je me contente de dire tout haut ce que j’entends en moi, orgasme psychologique pour moi tout le temps de la conférence (je comprends enfin Hitler et ses cérémonies géantes), public littéralement fasciné, y compris nos ennemis venus saboter la conférence ; on veut me retenir à la fin, on se presse autour de moi quand je dois quitter la scène, une femme s’évanouit quasi de bonheur après avoir réussi à se faufiler et à me toucher ; seul bémol, lorsqu’il m’est demandé de réexpliquer tel passage de mon exposé je reste bouche bée : la bande enregistrée est effacée. L’autre bémol c’est directement après l’engueulade téléphonique monumentale et interminable de ma guru : « sale traître, je te les avais mis en poche, tous ces cons, et tu ne m’en ramènes pas un seul ! » La deuxième expérience est horrible, à Düsseldorf, rien ne fonctionne, pas de bande enregistrée ni de traduction de mes quelques mots improvisés avant de m’enfuir en coulisse, mort de honte cette fois, juste rattrapé par une équipe régionale de télévision : charitable, mon tueur protecteur (Suisse alémanique) traduit les quelques mots que j’arrive à sortir de ma cervelle.
    Un an plus tard, coup de théâtre inespéré, positif, un vieil homme insignifiant qui se dit envoyé par un certain Sri Sathya Sai Baba et nanti de ses pouvoirs annonce qu’il a mission de détruire la secte : hilarité de nos geôliers ; tout à coup après de violents échanges verbaux avec la guru il nous lance, à nous les prisonniers : « j’ai réussi à temporairement hypnotiser votre guru, foutez le camp tout de suite sans la regarder sinon elle va vous reprendre, vous réhypnotiser ! N’emportez rien, pas le temps ! » Nous obéissons, volons les clefs de la grosse fourgonnette de la secte, nous y entassons après avoir volé aussi ce qu’il faut pour le plein ou les billets de train.
    Retour à la vie « normale, morte », autre enfer d’incompréhension et de rejet. Trois ans plus tard et trois années de suite mon sauveur m’invite un mois chez lui et sa femme à la côte d’azur. Êtres extraordinaires et déroutants sans arrêt à passer à la vitesse de l’éclair de la conscience ordinaire à leur véritable conscience, révélations énormes en tous sens : ils me révèlent quelques-unes de leurs incarnations et même quelques-unes des miennes, me font la démonstration de pouvoirs étonnants, confirment les propos de la guru « ummite », ma pire ennemie depuis très longtemps : « Oui tu es bien vénusien, oui tu as écrit « J’ai vécu sur deux planètes », oui tu as donc lourdement fauté à la fin de l’Atlantide, ce qui te poursuit aujourd’hui encore. Elle s’est juste un peu trompée quand elle t’a vu en Louis XV, en fait tu as été Louis XVI et donc aussi le tsar Nicolas II, l’un étant la copie conforme de l’autre ». Grand ami d’Einstein, il me dit être le père de l’aventure spatiale, la Nasa n’a fait que lui voler tous ses brevets, surtout il me montre les plans de la voiture à éther que lui a transmis Tesla, un industriel va lui prêter son usine et son personnel pour la construire. Et puis tout se gâte, je n’arrive pas à écrire le livre sur les sectes avec lequel je devrais faire le tour du monde, de conférences en conférences. Le constat est terrible : malgré tous les efforts de ce couple je suis toujours possédé à distance par la guru de ma dernière secte. Leur très riche ami industriel est ruiné du jour au lendemain, leur maison devient leur prison jusqu’à leur mort, sous surveillance constante de la police, téléphone sous écoute et courrier ouvert, j’en suis chassé juste à temps sans être identifié mais aussi sans plus oser entrer en contact car je le paierais cher. Désespoir et dépression sans fond, j’essaie malgré tout d’écrire ce fameux livre qui deviendra seulement cette autobiographie dont personne ne voudra ; mon seul exploit, résister au suicide.
    Huit ans plus tard, j’erre sans but dans la grande exposition bio annuelle de Namur, je suis attiré par un stand « Photos Kirlian », quand je suis assez proche de la dame âgée qui le tient, elle me dit simplement avec une tranquille assurance, faisant fi des présentations, « je peux vous aider ». Elle me raconte l’essentiel de sa vie d’ex-coiffeuse. Son seul fils, poète, meurt accidentellement à 20 ans, elle ne peut l’admettre et part faire le tour du monde avec les économies du ménage, convaincue qu’elle va trouver l’homme qui va lui rendre son fils. Après avoir parcouru en vain les Amériques, elle se rend en Inde, se jette aux pieds de Sri Sathya Sai Baba : celui-ci lui dit simplement : « Ne pleure plus, je te rends ton fils ». De fait presque aussitôt elle entend sa voix en elle et ne va plus cesser de l’entendre. A son retour celui-ci lui demande d’acheter un appareil photo polaroïd instantané : « Tu vas pouvoir ainsi photographier l’aura des gens et nous allons les soigner et les guérir. Tu n’auras qu’à entendre ce que je te dirai et qu’à t’y conformer.» Elle va fonder son centre de santé aurique qui existe toujours malgré la guerre incessante que va lui faire le monde officiel de la santé.
    Sri Sathya Sai Baba, pour la troisième fois j’entends ce nom étrange, la première fois quand j’ai été libéré de la secte, la seconde fois au moment de quitter à jamais mes sauveurs, j’ai alors écrit comme un automate et comme je le pouvais ce nom, dernier mot de mon carnet de notes qu’effondré je referme pour longtemps et ce après que mon sauveur m’ait dit : « un seul être peut encore te sauver, Sri Sathya Sai Baba. »
    Durant deux ans, à raison d’une séance mensuelle et d’exercices personnels en solo cette dame me soigne avant tout par les couleurs jusqu’au jour où elle me montre la dernière photo de mon aura : « Regarde, elle est presque belle, tu es enfin libéré de ta guru, elle ne peut plus t’envoyer sans arrêt ses flèches empoisonnées car tu es maintenant capable de les lui retourner ! » Une semaine plus tard je rencontre comme par hasard la coordinatrice du groupe Sai Baba de Liège et je ne vais plus le quitter. Nous sommes en 2005.
    Bien sûr ma situation apparente ne s’améliore guère, que du contraire, cela me vaut d’être rejeté plus que jamais mais intérieurement c’est autre chose, il y a toute une avancée secrète sous dehors contraires. Au sein de cette organisation je ne suis plus exploité, vidé continuellement de moi-même comme en sectes mais au contraire je me sens aimé, enrichi, fortifié même si dans les faits tout n’est pas rose, même s’il faut compter avec les faiblesses comme avec les qualités des différents membres. Trois fois même je séjournerai dans son ashram, j’entrerai dans un autre monde, dans un autre niveau de vibrations. Il est d’ailleurs fortement conseillé de ne jamais quitter l’établissement durant ce séjour. Amoureuse bataille même entre nous pour approcher l’Avatar de Shiva venu au pays de l’esprit après Râma pour la transition, âge d’argent, âge de bronze et après Krishna pour la transition âge de bronze âge de fer il y 5000 ans nous aider à entrer dans l’âge d’or. Il n’est lui-même que la deuxième des trois formes qui va nous soutenir lors de ce passage capital. Quelle joie pour ceux qui réussissent à lui baiser les pieds, quelle puissance ils reçoivent en retour ! Le moment le plus terrible, le départ car il faut bien laisser sa place à d’autres au bout d’un mois ou deux ou trois maximum. Seule déception, quand il nous dit juste assez sa tristesse : « Je n’ai pu libérer de la chaîne des naissances et des morts qu’un très petit nombre d’entre vous ». Mais celui-là d’entre nous est fou de joie : « Il te reste une seule incarnation terrestre après celle-ci. » lui a certifié Baba.
    A mon arrivée à destination pour la troisième fois j’apprends en lisant le journal que le gouvernement de l’état où je me trouve, le Kérala, est en discorde et démissionnaire. Toutefois il s’accorde un délai de réflexion d’une semaine qu’il va passer à Prashanti Nilayam (la demeure de la pix suprême) le temple de 20.000 places de Sai Baba où ses fidèles se réunissent constamment. De fait je constate que tous ces ministres se retrouvent parmi nous devant Sai Baba à humblement prier, méditer, chanter comme nous. Seule différence, des soldats bien armés un peu partout, des tireurs allongés sur les toits : des milliers de personnes entrent et sortent continuellement de l’ashram sans subir aucun contrôle. Au bout d’une semaine le cortège de voitures, jeeps et camions militaires quitte les lieux et je lis dans le journal qu’après un moment de désunion le gouvernement de notre état a repris ses activités. Inimaginable pour le moins en occident.
    L’actuel premier ministre de l’Inde était et est resté un fervent dévot de Sai Baba. Chaque fois que possible il faisait un saut en avion depuis New Delhi jusqu’à l’Ashram de celui qui nous a quittés dans sa forme en avril 2011 avant d’en reprendre une dernière à une date indéterminée sous le nom de Prema (Amour) à l’effet de finaliser le passage en la lumière de l’âge d’or.
    Quel contraste aussi quand on retombe dans la vie dite normale et qu’il faut encaisser l’indignation scandalisée des braves gens ! « Comment as-tu pu aller voir ce mangeur d’enfants, ce monstrueux multimiliardaire, le plus grand voleur et pervers du monde ! » Que leur opposer à tous ces gens mal informés, à qui tout est présenté inversé ?
    Aucun ne va croire par exemple que cet être, personne ne l’a jamais vu dormir, actif de toutes les façons 24h sur 24.
    Qui peut croire encore ceux qui affirment l’avoir vu cette nuit-là décrocher littéralement la lune tout en continuant à leur parler tranquillement cosmique ? Tout à coup elle n’était plus dans le ciel, mais dans sa main, de la grosseur d’un petit ballon de football avant que d’un petit geste il ne la relance et que chacun la retrouve à sa place dans le ciel.
    Qui pourrait admettre que son chauffeur était aveugle et pourtant conduisait à la perfection ?
    Combien de guérisons, de miracles à son actif ? des centaines de milliers, des millions ? scrupuleusement passées sous silence par les médias et quand Il ne guérit pas quelqu’un, Il lui en donne la raison « ta maladie est ton moyen de progresser » et Il le console en lui matérialisant une magnifique bague ou de la vibhuti, cendre sacrée bénéfique tombant comme par enchantement de ses mains dans celles du malade.
    Que de récits extraordinaires qui à force de se répéter deviennent ordinaires ! Ainsi, exemple entre mille, ce pilote de petit avion parcourant le Nord de l’Inde et ses montagnes. Ce jour-là tout à coup un énorme orage, visibilité nulle, impossible de s’orienter, tous les appareils de contrôle hors contrôle, impossible de sortir de l’orage, plus qu’à prier, la jauge d’essence à zéro mais au lieu de s’écraser l’avion continue d’avancer, sort de l’orage et vient se poser comme une plume dans un silence total sur une piste de l’aéroport de destination dans l’effarement général que l’on devine.
    Ce médecin encore, chef d’un camp médical Sai Baba dans cette guerre africaine. L’endroit pullule aussi de gens aveuglés qu’il suffirait d’opérer de la cataracte mais il n’est que généraliste et n’a aucune compétence en cette matière. Une jeep vient à s’embourber à proximité du camp et son chauffeur vient demander de l’aide, signalant au passage qu’il est chirurgien opthalmologue. Il va se mettre à opérer et à initier en même temps son collègue généraliste et quand celui-ci a enfin maîtrisé la technique, l’autre profite de la nuit pour remonter discrètement dans sa jeep et disparaître sans avoir révélé son nom…
    Il y a ces deux Américains aussi, spécialistes de la photo kirlian, ils font le tour du monde des grands hommes afin de les photographier. Complètement sidérés, l’un et l’autre : chez le commun des mortels l’aura dépasse à peine le corps physique, chez les meilleurs hommes elle dépasse d’un mètre ou deux ou plus mais pour Sai Baba ils n’arrivent pas à la photographier entièrement : son aura se mesure en kilomètres. ! Il faudrait pouvoir le photographier dans un désert mais Il se refuse à ce jeu.
    J’ai chez moi les 22000 pages de la traduction français de ses 60 ans de discours sans parler de ses nombreux livres ; comme déjà dit perpétuellement actif, sans défaut, d’humeur toujours égale, l’humour volontiers facétieux, parfois à feindre la colère devant l’étourderie de l’un d’entre nous avant de vite retrouver le sourire.
    Quelques commandements clefs juste pour info (prosélytisme sous toutes formes rigoureusement interdit par Baba)
    Nous avons à tout le temps nous répéter de toutes les façons, parlée, chantée, tout bas, tout haut notre vrai nom : nous sommes tous Dieu. Nous devons chacun adopter une formule personnelle qui l’exprime et ne pas en changer pour la simple raison, nous dit-il, que si on frappe un peu partout sur une surface bétonnée avec un marteau nous mettrons un temps fou à la briser, en revanche si nous martelons constamment le même endroit le béton de notre inconscience va finir beaucoup plus rapidement par éclater.
    La discipline spirituelle la plus efficace est pour lui le « seva » le service désintéressé, sans ego, sans souci de ses fruits.
    Grande importance de la méditation, d’une seule forme, sans danger, sa méditation de la lumière, des prières, des chants des mantras et des bhajans, de la psalmodie des Vedas ; même s’ils ne sont plus que quatre alors qu’à l’origine ces cadeaux divins étaient des centaines de milliers exposant tout le savoir accessible, ils suffisent néanmoins à nous éveiller.
    Je termine par cette prière multimillénaire sanskrite que nous disions quotidiennement et qui montre la dimension cosmique de son enseignement même s’il ne nous a jamais parlé extraterrestre ou intraterrestre : la seule chose qui importait pour Lui était notre transformation intérieure et donc notre libération :
    « Samasta Loka Sukhino bhavantu »
    (Que sur tous les mondes tous les êtres soient heureux !)
    Hélas je suis comme beaucoup loin d’avoir fait tout ce qui m’aurait transfiguré et je reste à la merci des réactions d’autrui, très souvent négatives qui vont au mieux de la risée ou de la compassion charitable des gens sérieux à l’hostilité plus ou moins marquée et exprimée. Personne ne me prend au sérieux, on me trouve au mieux une certaine imagination…
    Je ne vous demande surtout pas de me croire. Merci de m’avoir lu jusqu’ici.
    Bien à vous dans la Victoire de la Lumière.

    André Streel

    1. Hervé

      Les Vedas sont les plus anciennes créations littéraires de l’homme.

      De nos jours le mot ‘littérature’ est appliqué à des écrits griffonnés pour passer le temps. Ils n’ont aucune valeur ou signification intérieure, ils détruisent les traits de bon caractère du lecteur et implantent de mauvaises attitudes et habitudes. Ils n’adhèrent pas à la voie de la Vérité. Le terme ‘littérature’ ne peut être appliqué à des écrits ou poèmes qui débitent des histoires fausses. Elle ne devrait pas surgir des fantaisies égoïstes de l’individu.

      Sathya Sai Vahini p 237, Sri Sathya Sai Baba,
      éd. Sri Sathya Sai Books & Publications Trust

  12. Gil

    Très bon article, Hervé, merci à vous!..

    1. Hervé

      Merci Gil pour ton appréciation ! Bien amicalement.

Merci pour votre commentaire éclairé !

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