Les réseaux souterrains africains et indiens des Illuminati, ainsi que les vestiges du « Illuminati Breakaway Complex » (IBC) dans le système solaire et sous la surface de cette planète ont été complètement éliminés.
Certaines des batailles qui se sont déroulées avant l’élimination finale sont remontées à la surface :
En anglais :
https://www.bbc.com/news/world-africa-68314158
En anglais :
https://apnews.com/article/africa-internet-outage-undersea-cables-failure-ac67fd11b4d9ae7cb3959622c5e9e78b
Parce que la majeure partie de la présence obscure du système solaire a disparu, la « Space Force » est en train de paniquer :
En anglais :
https://disclosuredots.blogspot.com/2024/03/cabal-space-force.html
Ce qui reste maintenant à éliminer au-delà de la surface Illuminati est un ancien réseau sombre atlante qui a été partiellement établi sur cette planète avec l’arrivée des sombres Seigneurs d’Orion, il y a environ 900 000 ans et qui a été achevé il y a 26 000 ans lorsque la planète Terre est entrée en quarantaine.
Ce réseau a été pleinement opérationnel jusqu’à la chute de l’Atlantide, puis il est resté caché, ne se mêlant qu’occasionnellement aux événements qui se déroulaient à la surface. Maintenant que tous les autres réseaux obscurs au-delà des Illuminati de surface ont été supprimés, il est redevenu actif.
La plupart des informations concernant ce réseau doivent rester confidentielles pour l’instant, à l’exception du fait qu’il possède des bases à travers le système solaire et également sous la surface de cette planète, de la même manière que les réseaux précédents qui viennent d’être éliminés.
Nous sommes maintenant entrés dans une période très délicate et toutes les informations concernant le nettoyage de ce réseau doivent rester classifiées pour l’instant et une période de silence radio doit commencer.
Ce réseau exécute actuellement des attaques brutales contre les Artisans de Lumière sur les plans non physiques et les forces de Lumière font tout ce qui est en leur pouvoir pour minimiser l’impact de ces attaques.
Dans les quelques jours qui entourent l’éclipse lunaire pénombrale du 25 mars, les gens doivent se protéger autant que possible et s’abstenir de réagir à la négativité.
Au moment de l’éclipse lunaire du 25 mars, nous aurons une méditation de renforcement pour nous aider à atteindre la masse critique de 30 000 personnes pour notre méditation principale sur l’éclipse solaire du 8 avril.
La vidéo en anglais de la méditation de stimulation avec toutes les instructions dans le texte sous la vidéo est ici :
La liste de lecture des vidéos pour la méditation de stimulation en 10 langues est ici :
Les instructions avec toutes les ressources pour notre méditation principale du 8 avril sont ici :
Avec l’heure exacte pour les différents fuseaux horaires ici :
Avec une vidéo promotionnelle en anglais contenant toutes les instructions ici :
https://www.youtube.com/watch?v=spswGBXKFXo&list=PL-ujIE4tLGbG0xx_ps_llh4OtUdRZt_v8&index=2
Et avec une liste de vidéos promotionnelles en 18 langues ici :
Victoire de la lumière !
Source : http://2012portal.blogspot.com/2024/03/short-situation-update_21.html
Merci à vous Monsieur Gaïa pour la traduction spontanée des liens anglais, cela me permet d’aller tous les voir!… Si non, je n’aurais même pas essayé de les ouvrir!…
En tous cas, encore de belles nouvelles dans cette mise à jour de situation planétaire par Cobra!…
Tenons bon la Lumière et ne nous décourageons surtout pas!…
Victoire de la Lumière!…
Bonjour,
J’ai participé comme j’ai pu à la méditation de masse américaine de ce 25 mars.
Je me réjouis en particulier de la libération de l’Inde. J’ai toujours été en affinité avec elle, dans ma bonne ville de Liège j’ai été l’un des premiers il y a près de 60 ans à pratiquer le yoga et à m’ouvrir à la philosophie indienne.
Je pense surtout que Sri Sathya Sai Baba a sa part dans la libération de l’Inde en particulier et de l’humanité en général. J’ai eu la chance de bénéficier directement de ses enseignements et de sa présence pendant 20 ans.
Bien sûr il a été facile pour les médias des forces sombres de le faire passer en occident pour le contraire exact de ce qu’il est, pour l’exemple type de ce que sont leurs maîtres, collectionnant les milliards et les perversions les plus monstrueuses, pédophilie en tête. Durant les 70 ans où il s’est dit nanti des pouvoirs divins pour aider l’humanité à passer de l’âge de fer à celui de l’âge d’or, tout comme il l’avait fait comme Krishna pour aider à passer de l’âge de bronze à l’âge de fer et comme Rama plus tôt encore pour la transition âge d’argent-âge de bronze, il s’est contenté de monter l’exemple, de faire rayonner sur peut-être une centaine de millions de personnes son aura aussi gigantesque qu’éblouissante au point qu’aucun photographe n’a jamais pu la prendre en entier.
Il a par exemple prononcé sans arrêt des discours spontanés qui font au total 22.000 pages pleines de poésie, de jeux de mots et d’images nous poussant de toutes les façons à quitter notre animalité, à redevenir de vrais humains en marche vers le divin. Nul ne l’a mieux annoncé et décrit, jusque dans les moindres détails apparents, que Mahomet.
Il a réalisé tout ce temps d’innombrables guérisons et miracles auxquels il n’accordait pas d’importance: “C’est naturel et normal, je ne fais que vous montrer ce que vous devriez pouvoir faire vous-même”, précisant bien toutefois qu’il ne guérissait pas ceux dont la souffrance était le seul moyen de progression.
Juste ces trois exemples, et d’abord ce pilote de petit avion commercial se retrouvant aux abord de l’Himalaya dans une énorme perturbation paralysant tous ses appareils de bord et lui cachant la vue; réduit à voler au hasard, il se retrouve bientôt sans carburant; devant la mort imminente il prie Baba et l’avion bien silencieux non seulement continue de voler mais sort de l’obscurité orageuse et se dirige tout seul vers un aérodrome où il se pose comme une plume dans la stupéfaction générale.
Cette Australienne aussi dont le mari vient de décéder, elle ne voit plus qu’une solution, rejoindre au plus vite Baba pour que celui-ci ranime son mari. Baba lui a juste demandé de ne pas l’enterrer, de le laisser sur son lit malgré le début de putréfaction. Quand elle rentre de son bref séjour à Puttaparthi (put apart I = mets ton ego de côté, comme il disait) elle est accueillie à l’aéroport par son mari en pleine forme.
Il y a ce soir-là encore où il parle de la lune à un groupe d’étudiants, (son université est totalement gratuite de même que son hôpital réputé où on vient parfois de loin se faire soigner) tout le monde la regarde dans le ciel clair et puis tout à coup elle disparaît et se retrouve, de la taille d’un ballon de football, dans les mains de Baba qui continue d’en parler comme si de rien n’était et puis la jette en l’air d’un geste léger de sorte que chacun peut la retrouver aussitôt à sa place dans le firmament.
Modi qui dirige l’Inde profitait du moindre temps libre pour prendre l’avion et venir se ressourcer auprès de lui. Je lus un jour dans le journal que le gouvernement de l’état d’Andra Pradesh ne s’entendait plus mais qu’avant de se dissoudre il avait décidé de passer une semaine auprès de Baba et nous les vîmes tous comme nous, priant, chantant, écoutant Baba, agenouillés, seule différence, des soldats partout, y compris sur les toits (Ashram ouverte de très tôt à très tard à un flot ininterrompu de milliers de visiteurs); une semaine plus tard le convoi des voitures et camions militaires repartait et je lisais dans le journal que le gouvernement avait effacé ses dissensions et repris ses activités.
Des détails qui ne trompent pas, personne ne l’a jamais vu dormir et le chauffeur de sa voiture était aveugle. Il sortait instantanément de sa bouche ou de ses mains des bijoux puissants ou mieux encore des lingams qu’il offrait à certains, plus fréquemment encore et en quantité de la cendre sacrée, régénérescente, appelée vibhuti. (J’en ai encore chez moi et j’en use quotidiennement).
Des millions de personnes sont passées ou ont vécu dans son Ashram, pour ma part j’ai eu cette chance par trois fois à raison d’un mois (durée maximum autorisée 3 mois car il fallait donner au plus de monde possible la chance de se nourrir du rayonnement extraordinaire qui y régnait). Il n’avait pas besoin d’inviter les hébergés à quitter le moins possible les lieux tant le contraste était saisissant et le plus dur, c’était évidemment le départ et son pénible retour à la vibrance normale.
Ces précisions encore, il interdisait le prosélytisme, nous ne pouvions prêcher que par l’exemple, hélas on fut loin de compte et depuis qu’il nous a quittés en avril 2011 le mouvement est parti en quenouilles, surtout en occident où nous ne sommes plus que des poignées de survivants, pour la plupart âgés. Il a toujours dit qu’après celles successivement de Shirdi Sai et de Sathya Sai (satya = vérité) il reviendrait dans une troisième et dernière forme, Prema Sai (Prema = amour) qui devrait déjà exister mais non encore divinisée. Bien sûr on trouve d’ores et déjà toutes sortes de faux Prema Sai bien décidés à profiter de l’aubaine.
Curieusement il a toujours refusé de parler cosmique, “vous êtes votre seul chantier, vous avez à vous travailler jusqu’à redevenir ce que vous êtes, Lumière.” Il lui est par ailleurs arrivé de déplorer que trop peu d’entre nous aient profité de son contact pour accélérer leur progression au point de se libérer totalement de la Terre.
Il nous a réinitiés, ne serait-ce que cela et les Indiens en particulier, aux Vedas que certes je psalmodie maladroitement comme beaucoup.
Il était petit et tout sauf physiquement attirant mais personne pourtant n’attirait plus les foules que lui, il vivait très simplement dans une petite pièce de son ashram, portait une robe souvent orange, marchait pieds nus et laissait les plus proches de lui les toucher et s’imprégner ainsi de lui.
Quant à l’argent des donateurs, il était transformé en toutes sortes de services, constructions de grands bâtiments pour l’enseignement, la santé, irrigation de cette vaste région permettant de faire quatre récoltes de riz au lieu de deux, améliorant l’alimentation, l’hygiène et la santé des habitants (disparition de maladies ancestrales comme le paludisme, beaucoup moins de tués par serpents, etc).
Mon plus beau souvenir, ma participation quelques mois avant sa mort à un choeur d’Europe du Nord de 335 membres qui chanta durant deux heures et en douze langues devant lui, dans son temple sans murs pleins en pourtours, histoire d’éviter l’effondrement du toit sous l’effet des vibrations des bhajans dont chaque vers était d’abord chanté par un soliste et ensuite repris en choeur par les 20.000 dévots entassés en lotus. Sans parler de la foule plus nombreuse encore tout autour du temple tandis que des haut-parleurs géants répandaient la musique jusque dans les campagnes avoisinantes. Deux de mes poèmes mis en musique figuraient au répertoire, celui-là surtout en point d’orgue final et en quatre langues, français, néerlandais, anglais allemand (version wallonne refusée) ‘Joie Baba!’ sur musique extraite du dernier mouvement de la neuvième symphonie de Beethoven. Alors qu’est prioritaire le seva, soit l’aide gratuite et désintéressée d’autrui, j’apprécie particulièrement cette autre technique-là de travail personnel qu’il nous conseillait, la répétition constante d’un nom divin, toujours le même, de manière à s’en imprégner toujours plus, à se diviniser toujours plus, pour ma part j’ai choisi le mantra de la Gayatri, synthèse des Vedas. Reste que celle qui reste ma préférée, ce sont les bhajans, que je chante quand ça me chante, ils sont le plus souvent courts, répétitifs, chargés de mots puissants, noms de divinités, de vertus, de grands êtres, Brahma, Shiva, Vishnu, satyam (vérité), shivam (bonté), sundaram (beauté), Jésus, Bouddha et tant d’autres, qui plus est dans la première langue humaine, planétaire que fut le sanskrit, aussi difficile que nuancée.
Détail prosaïque, on pouvait fort bien vivre à Puttaparthi avec 200€ par mois, appartement ou maisonnette s’achetait alors 2.500€, ni chauffage car quasi sur l’Equateur ni véhicule (rickshaws tant et plus à prix dérisoire), ni drogue ni alcool ni cinéma ni prostitution et ça m’aurait bien changé de mes calculs acrobatiques de fin de mois. Mais quand avec quelques Français je lui demandai s’il était bon pour nous de s’installer à Puttaparthi, la réponse fut laconique: “non, ici la misère n’est guère que matérielle, en occident elle est beaucoup plus profonde, c’est là que vous devez être.”
Ce tellement plus qu’homme, nous ne pouvions le comprendre ni le concevoir parce que selon avis sérieux il était de la quinzième dimension sinon plus, venant du satellite Terra de Saturne, siège de la race bleue de Vishnou et tout autant de Shiva et de Brahma.
Bien à vous;
Voilà un très beau témoignage. Je ne suis plus toute jeune moi non plus et j’apprécie vraiment le récit de vos experiences uniques et édifiantes.
en contraste singulier avec dix ans de chimie psychiatrique et 15 ans de sectes, l’une guérisseuse, l’autre extraterrestre, qui ont précédé…